Dans le sang de nos parents,
Nous marchons péniblement,
Dans l'amour de nos enfants,
Nous n'avançons, que trop facilement,
Mais le mensonge de tant d'années,
Passées à esperer,
Pouvoir un jour m'en dépêtrer,
Nous a de l'interieur tout deux consummés,
Je sais, tâché d'encre,
Je meurs, la vérité m'éventre,
Je sauve, l'espoir de tes griffes acérées,
Je crève, les larmes qui sur tes joues, trop souvent on coulées,
Je sens ton coeur d'amour brûler, tu refuses de te l'avouer,
Refuses tu donc de m'aimer ?
Voilà que mes mensonges, pour devant toi exister,
Mon amenée à demeurer damnée,
Mais que faire lorsque je ne sais comment t'aimer ?
La vérité, dont mon encre imprégnée,
Trace le mensonge sur le papier de ta vie, brûlé,
Laissant ton mensonge gravé,
Malgré la pierre usée,
Je me donne le courage d'à nouveau t'aimer...
Que de belles paroles filtrent de tes lèvres,
Mourrais je pour toi avant que le jour se lève ?
Je ne te dois rien, car je n'ai fait que t'aimer,
Toi, le vent qui sillonne mes nuits à ce jour redoutées...
Nous marchons péniblement,
Dans l'amour de nos enfants,
Nous n'avançons, que trop facilement,
Mais le mensonge de tant d'années,
Passées à esperer,
Pouvoir un jour m'en dépêtrer,
Nous a de l'interieur tout deux consummés,
Je sais, tâché d'encre,
Je meurs, la vérité m'éventre,
Je sauve, l'espoir de tes griffes acérées,
Je crève, les larmes qui sur tes joues, trop souvent on coulées,
Je sens ton coeur d'amour brûler, tu refuses de te l'avouer,
Refuses tu donc de m'aimer ?
Voilà que mes mensonges, pour devant toi exister,
Mon amenée à demeurer damnée,
Mais que faire lorsque je ne sais comment t'aimer ?
La vérité, dont mon encre imprégnée,
Trace le mensonge sur le papier de ta vie, brûlé,
Laissant ton mensonge gravé,
Malgré la pierre usée,
Je me donne le courage d'à nouveau t'aimer...
Que de belles paroles filtrent de tes lèvres,
Mourrais je pour toi avant que le jour se lève ?
Je ne te dois rien, car je n'ai fait que t'aimer,
Toi, le vent qui sillonne mes nuits à ce jour redoutées...